N2F : Saint-Sébastien se contente du nul face à Lanester

Ouest France 15/01/2023

N2F : Saint-Sébastien se contente du nul face à Lanester

Dans une rencontre de N2F très serrée contre Lanester, les Sébastiennaises ont sauvé les deux points du nul à défaut de pouvoir s’imposer (27-27).

Débutant par une entame cadenassée en défense, le premier acte a vu deux équipes se rendre coup pour coup, observant chacune ses temps forts. Le plus gros écart au tableau de marque était de +3 pour les Ligériennes (8-5, 18’). Les Morbihannaises recollaient sans tarder.

Un score de parité à la pause, tout restait à jouer (14-14). « Je suis très satisfait du travail des filles. Elles travaillent énormément à l’entraînement et elles donnent beaucoup en match », confiait le coach breton, avant d’ajouter qu’il était « très fier des attitudes. Les filles ont appliqué les consignes et le travail paye, je pense que l’on va remonter au classement quoiqu’il arrive ».

La suite se poursuivait sous les mêmes auspices à la salle Luc Abalo. Deux formations inséparables alors que les minutes s’égrenaient et que la tension montait d’un cran. Les Ligériennes ne parvenaient pas à multiplier les courses, bien prises par l’arrière-garde bretonne. 27 partout à 20 secondes de la fin, Lanester avait la balle de match, mais la gardienne locale sauvait les siennes pour conserver le match nul, un moindre mal.

« Deux points, ça reste deux points. C’était un match un peu bizarre. Je ne suis pas content du match que l’on a fait. Lanester a fait un super match pendant que nous, on n’est pas rentré dans notre jeu de courir plus. Il nous a manqué du rythme, de la vitesse, de la fluidité. Les arbitres sifflaient beaucoup aussi, ça ressemblait à un match de basket », analysait, amer, le coach local.

SAINT-SÉBASTIEN – LANESTER : 27-27 (14-14)

Arbitres : Marc Nolann et Marc Mewen

SAINT-SÉBASTIEN. Vacher, Pannequin, Bougie, Babot, Meslet-Tourneux, Riot, Royer, Guillemot.

LANESTER. Evenas, Guillemot, Charloton, Grégoire, Jourdain, Larmet, Lelievre, Leveque, Srey.

Source : Ouest-France